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Cet article est le petit frère de l'article paru sur les vendredis intellos : Douleur et accouchement
Enceinte, j'étais très angoissée à l'idée d'accoucher. J'ai annoncé à mon conjoint, enceinte de 4 mois et demi, que le bébé ferait ce qu'il voudrait, mais qu'il ne sortirait pas sa grosse tête de mon vagin.
Ce ne sont pas les copines qui m'ont rassurée : "t'auras pas le choix ma cocotte".
L'angoisse, pour moi, c'était l'angoisse de la douleur, de l'atteinte physique, de l'inconnu.
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Suite de l'article rédigé pour les vendredis intellos : La gestation pour autrui d'un point de vue éthique
Si l'on accepte de mettre de côté l'argumentaire théorique du pour ou contre, et qu'on exclut du débat l'orientation sexuelle des parents présumés, peut-on répondre à ces deux questions ?
1) Si je ne pouvais pas concevoir "naturellement", voudrais-je demander à une femme de porter mon enfant ?
2) Si je connaissais 2 personnes qui ne pouvaient concevoir "naturellement", accepterais-je de porter leur enfant ?
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Complément de l'article paru sur les vendredis intellos : Les maths sur le bout de la langue
J'ai eu la chance de donner des cours particulier de maths à un élève de 12-13 ans, un été. Un élève en difficulté qui avait évité de justesse de le redoublement à cause de ses notes en maths.
Je m'attendais à un enfant plus créatif que logique. Pas du tout. Je l'ai trouvé brillant. J'ai repris ses interrogations de l'année écoulée (bourrées d'erreur), on les a retravaillées ensemble. En fait, il était trop rapide, répondait à l'instinct, et surtout aucune des questions posées n'avait de sens pour lui.
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Suite de l'article posté sur les vendredis intellos "L'apprentissage de l'orthographe"
Je ne m'étais jamais posé la question non plus de la sacralisation de l'orthographe.
François de Closets n'y va pas avec le dos de la cuiller : "En France, l’orthographe est une véritable religion. (…) La note de la dictée, c’est le QI à la française!" et Bernard Pivot y remet une louche : " L’orthographe n’est plus cette religion laïque dont des générations d’instituteurs et de professeurs ont été les impitoyables célébrants du culte."
2 commentaires -
ah,ah, Anna, tu te demandes sans quoi ?
Pas sans pluie, en tout cas. Pas sans prise de tête non plus. Sans quoi, alors?
Sans le bébé pardi !
Des journées sans papa ni maman, on ne les compte plus, c'est le quotidien à la crèche. Des nuits sans le papa, on en a fait beaucoup. Des nuits sans maman, aussi (saleté de boulot).
Mais 3 jours et 2 nuits sans aucun parent (on était partis youpi!!), c'était une première !
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